Métier naissant, la préparation physique n’est toujours pas vraiment reconnue par le Ministère des Sports. A titre d’exemple, malgré mes 2 Master Universitaires en la matière, c’est mon DEUG STAPS (Licence 2 aujourd’hui), qui me permet d’avoir la précieuse carte professionnelle.
Ce vide juridique est compensé, par des professions qui s’organisent en conséquence (et intérêts). Les kinés sont positionnés, mais aussi les entraîneurs, via les fédérations sportives. Depuis 10 ans, ces dernières, Football et Tennis en tête, on produit leurs propres parcours de formation, et leurs propres certifications.
Si, il y a 10 ans, la Prépa Physique était l’apanage de généralistes, souvent issus de l’athlétisme, qu’en est-il aujourd’hui ?
Pour devenir un bon préparateur physique, quelle part de généralisme doit avoir le professionnel, face aux besoins hyper spécifiques des disciplines ?
Pour débattre de cette question essentielle au positionnement de nos collègues, Benjamin Dumortier et Lois Monaco, tous les deux préparateurs physiques professionnels s’asseyent dans le canapé d’ABD Podcast.