C’est bien la compréhension fine et précise de la spécificité de ces stimuli, ainsi que de leurs conséquences, qui va permettre de dresser le plan d’entraînement. In fine, cette compétence, c’est la différence entre un bon et un mauvais plan. C’est la différence entre un bon et un mauvais coach. C’est la manifestation la plus concrète de l’expertise !
L’intensité est déterminante : il existe une intensité seuil induisant les notions de surentraînement et de sous-entraînement. La bonne adaptation à une charge passe ainsi nécessairement par une phase de perturbation de l’équilibre biologique de l’organisme.
En effet, il faut régulièrement perturber l’équilibre dans lequel se construisent les cellules musculaires squelettiques en imposant des périodes de stress, et de reconstruction. C’est ainsi que ces stimulis, appliqués à l’organisme lors de l’entraînement, conditionnent la performance en générant des adaptations.
Mais comment se produisent ces adaptations ? Tâchons d’y voir un peu plus clair voulez-vous ?