Les hards : aller jusqu’à la douleur permet à long terme à l’automassage d’être plus efficace.
D’un côté les pratiquants acharnés, qui ont largement dépassé les premiers degrés de sensibilité au massage, et qui, comme pour toute addiction, ont besoin de toujours plus.
Ces derniers vont jusqu’à utiliser des barres d’haltérophilie, des Kettlebell ou des disques de musculation comme outils de massage, pour obtenir une stimulation satisfaisante.
Ils ont pour eux l’argument d’un travail extrême sur la souplesse active et la production d’un saignement modéré créant de l’adaptation locale.
Ils préconisent souvent un travail plus douloureux que l’autre école.
Les softs : éviter la douleur permet un meilleur effet des automassages en favorisant le relâchement.Les représentants des courants plus doux recommandent de demeurer dans des zones supportables de douleur, et de terminer par une intensité de travail non douloureuse. Cette approche plus raisonnable met en avant que les meurtrissures sont en général plus des signes de lésions musculaires que de guérison.
Comme souvent, ne doivent vous arrêter que votre instinct et votre bon sens.
Comme souvent le bon sens à la rescousse ?
D’un choix judicieux des outils
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