Plus d’éléments pour comprendre l’anatomie de la cheville et sa réathlétisation
On y retrouve bien sur des os, comme les épiphyses des tibias, péronés et fibulas (malléole interne et externe, plafond), le talus ou encore l’astragale. Ces os sont évidemment reliés par des des ligaments et tendons.
C’est alors que tout se complique : souvent, les opérations sont périlleuses et doivent être pratiquées rapidement.
La cheville est en outre particulièrement exposée à la blessure et peut connaître un historique de lésions ou d’instabilités particulièrement chargé. La réathlétisation de la cheville est ainsi en proie à l’historique de blessure et de rééducation.SUIVEZ MA FORMATION PROPRIO DES MAINTENANT
La réathlétisation de la cheville : une interaction entre kinés et préparateurs physiques
Le mouvement fonctionnel de l’articulation de la cheville est la flexion/extension du pied sur la jambe. Mais le pied est encré dans le sol, alors que le corps est mobile tout autour. L’appui expose ainsi la cheville à diverses pressions, cisaillements et forces de rotations ! Lorsque la cheville n’est plus suffisamment robuste pour résister ou adaptable, c’est la blessure. Pour en parler à mes côtés, rien de mieux qu’un kiné, Simon Trubert, de Training Therapie.
La flexion du pied, ou dorsiflexion, est de l’ordre de 20 à 30 degrés en rapprochant le dos du pied, de la face antérieure de la jambe. L’extension du pied fait l’inverse, avec un angle plus important allant jusqu’à 60 degrés.
Avec des contraintes aussi variées et une mécanique si réduite, la réathlé de la cheville commence même avant la blessure ! Il nous fallait bien un PODCAST sur le sujet.FORMEZ-VOUS A LA PREVENTION EN LIGNE
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